Ben Franklin VS the Dead Coats

Après Abraham Lincoln, tueur de vampires, voici venir les aventures de Benjamin Franklin aka Ben pour les intimes.

Dans la série c'est n'importe quoi mais qu'est-ce que cela peut bien vous faire puisqu'on est là uniquement pour dégommer des zombies, je vous présente Ben Franklin versus the dead coats.

Alors c'est un jeu d'action oui c'est vrai mais c'est surtout un jeu de tir à la première personne techniquement très abouti, que même ta bécane n'est même pas certaine d'avoir ce qu'il faut dans le ventre pour faire tourner le jeu tellement qu'il est balaise.

Mais penchons-nous plus avant (mais pas trop) sur le scénario de ce FPS que je pourrais qualifier de frais si seulement j'avais 10 à 15 ans de moins. Et c'est une véritable leçon d'histoire qui nous saute littéralement au visage.

On y apprend par exemple que le roi Georges dégoulinant de vengeance après sa défaite, a carrément pactisé avec le Diable. Et quand je dis le Diable je parle de Satan et non pas de l'outil de levage et de transport de charges particulièrement utile lors des déménagements.

Satan accepte donc de rendre service pour rendre service en métamorphosant les défunts soldats du roi Georges en une armée désarticulée de morts-vivants assoiffés d'hémoglobine (peut-être j'en fais trop).

Fort heureusement, Ben la malice qui a beau être un homme d'état, n'en a pas moins un super passe-temps de geek avec un penchant prononcé pour la fée électricité.

Ce grâce à quoi, Ben concocte une arme révolutionnaire et totalement écologique qu'il ne prêtera à personne parce que c'est son invention à lui. Et puis après tout, il a beau être un homme politique il a bien le droit de s'éclater un peu en zigouillant des zombies lui aussi.

Bon, au final c'est un jeu sympa réalisé en 3 semaines (bravo !) et qui nécessite une machine relativement puissante pour en profiter.

Sur ce, je vais prendre mes médicaments et me mettre au lit. Je me lève tôt demain. J'ai piscine et je ne retrouve plus mon maillot.